« Je m’appelle Alban de CHATEAUVIEUX, je suis marié, père de 3 enfants et je vis à Marseille.A l’issue de mes études de création graphique, j’ai passé un brevet de marine marchande et j’ai navigué quelques années en tant que marin sur des voiliers.Après une expérience de responsable communication dans la finance, je suis devenu illustrateur.Je suis aujourd’hui artiste, peintre, et je dessine des vitraux notamment pour des églises.Je suis quelqu’un de sensible et j’ai beaucoup de curiosité pour le monde et les personnes qui m’entourent. »
« L’Association IRSAM est une institution à Marseille. J’en avais donc souvent entendu parler.J’ai passé mon enfance et jusqu’à mon adolescence entre La Réunion (dont la famille de mon père est originaire) et Marseille où je vis aujourd’hui.Lorsqu’il m’a été proposé d’intégrer le CA de l’association, il y a 6 ans, ma connaissance de ces deux environnements dans lesquels l’Association IRSAM est ancrée m’a poussé à accepter.Le fait de n’avoir que 43 ans et de ne pas être un expert en gestion ne me sont apparus comme des atouts que plus tard…»
« Je participe à l’ensemble des réunions du Conseil d’Administration, au minimum 2 fois par an, et à chaque fois que l’association souhaite nous réunir pour prendre des décisions importantes qui relèvent de l’approbation du CA.Je suis également présent à l’Assemblée Générale au mois de juin.
Enfin, je suis membre du Conseil de la Vie Sociale de l’Institut IRSAM Arc-en-Ciel en tant que représentant du CA. J’apprécie d’y être invité à me pencher sur le fonctionnement d’un établissement en particulier et sur le quotidien des personnes qu’il accueille.Être au CA IRSAM aujourd’hui, c’est pour moi prendre du temps pour contribuer à ce que l’association prenne les meilleures orientations et fasse les choix stratégiques les plus justes, pour prendre soin au mieux de celles et ceux qui lui sont confiés. »
« C’est un ensemble de professionnels qui se mobilisent au quotidien pour prendre soin de ce que notre société a de plus fragile.C’est une mission que les Sœurs de la Congrégation se sont donnée à l’origine, dont nous avons hérité et dont nous tâchons aujourd’hui de nous acquitter au mieux.J’ai le sentiment que la société compte sur nous pour mettre notre exigence au service des personnes que nous accompagnons. »
« Dans cette société où il faut toujours être plus fort, plus beau, plus performant, la vulnérabilité m’apparaît comme un cadeau ; une chance que nous devons collectivement saisir d’éprouver notre fraternité. »
« En tant qu’administrateur, j’avais demandé à participer à une session de « sensibilisation » que les équipes de l’Arc-en-Ciel proposent au Mucem, LE grand musée de Marseille.Découvrir avec mes propres sens les défis innombrables que les personnes mal-voyantes relèvent au quotidien m’a profondément touché… et, si dire que mon regard sur le handicap sensoriel en a été bouleversé n’est pas très approprié, c’est pourtant bien le cas. »
