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Villa Apraxine
Actus
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L’année 2016 est bien lancée, et les éditorialistes de la villa Apraxine ont repris le chemin des gazettes, afin d’y apporter leurs éclairages :
Titre de l’article : « Nicoya, péninsule des centenaires » Géo, janvier 2016
Sujet de l’article : Nicoya, au Costa Rica compte beaucoup de centenaires. Les raisons évoquées : nourriture frugale, eau, soleil modéré, et les différentes générations cohabitent.
Commentaires : « En Europe, à force de se protéger, on attrape des maladies (cancer…). Nous devenons esclaves de la télévision et on a plus le temps d’être ensemble (en famille). »
Titre de l’article : « La cigale et la fourmi à la sauce thai » Géo, janvier 2016
Sujet de l’article : La consommation d’insecte est importe en Thaïlande, c’est une production économiquement avantageuse (par rapport à la viande).
Commentaires : » J’aurais du mal à manger des insectes, savoir que je mange une mouche, qu’est ce qu’ils y trouvent. » Marie M.
« J’ai une répulsion à manger cela. » Gisèle G.
Titre de l’article : « Une fondation au poil » Canard enchaîné, décembre 2015
Sujet de l’article : L’association Assistance aux animaux est dans le collimateur du FISC, notamment par rapport à son patrimoine qui interroge.
Commentaires : « Les dons ne profiterons jamais aux animaux, c’est un vol qui ne sera pas puni. On devient méfiant de tous les dons que nous pouvons faire, cela nous refroidi. » Marie M. et Gisèle G.
Titre de l’article : extrait de Ça m’intéresse histoire, janvier 2016
Sujet de l’article : Le sort des personnes en situation de handicap et leur prise en charge à travers l’histoire.
Commentaires : » Pour moi, il est important de se prendre en charge, d’avoir de la volonté pour travailler, de garder une dignité, on peut tous faire un travail. » Marie M.
« Grâce à Louis Braille, les aveugles ont pu avoir accès à l’éducation. » Gisèle G.
« L’accessibilité doit encore progresser, il y a beaucoup de gens qui ne peuvent toujours pas aller faire leurs courses. » Gisèle G.
« Il faudrait une canne différente pour identifier les mal-voyants ». Marie M.
« Les gens ont parfois du mal à se mettre à notre place, ils pensent que nous ne comprenons pas et s’adressent jamais à nous, mais à nos accompagnateurs. Ils ne savent pas comment s’y prendre, ce n’est pas contagieux. Il faut former les gens, surtout quand ils sont petits. » Marie M. et Gisèle G.
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A vous maintenant, d’apporter vos commentaires sur les sujets traités. Rendez vous dans 15 jours, pour un prochain édito.
